La taille et le nombre des futures éoliennes flottantes allant croissant, l’option d’une maintenance sur site semble privilégiée par les développeurs de parcs. Concernant la biocolonisation des structures immergées, des techniques d’élimination du biofouling et des approches de traitement de surface sont à l’étude. Un focus sur les lignes d’ancrage et les câbles dynamiques semble indispensable car ces composants clés sont présumés avoir un comportement hydromécanique et donc une usure différente une fois colonisés. La biocolonisation pouvant varier suivant les conditions environnementales, il est aussi nécessaire de caractériser le biofouling sur les sites des futures fermes. D’une durée de 3 ans et d’un budget de 1,6 M€, le projet BIODHYL va permettre de quantifier les impacts de la biocolonisation des systèmes flottants, et de définir une méthodologie de référence pour caractériser et suivre la biocolonisation.
Projets
14 Janvier 2025