La France ambitionne 45 GW d'énergie éolienne en mer d'ici 2050. Pourtant, l'interaction entre la couche limite atmosphérique marine et les éoliennes est encore mal comprise. Les parcs éoliens en mer génèrent des sillages pouvant s'étendre sur des dizaines de kilomètres, modifiant la vitesse du vent, la turbulence, la température, l'humidité et les formations nuageuses. Aussi, à mesure sommet de la couche limite peut générer des ondes de gravité et du blocage, impactant la dynamique atmosphérique et la performance du parc. Par ailleurs, l'environnement côtier favorise leur génération et provoque des conditions de vent variables au sein de la ferme, altérant son régime de fonctionnement.