Statut du projet : En cours
Porteur du projet : IDEOL
Partenaires industriels : BOUYGUES TP
Partenaires recherche : IFSTTAR
Cofinanceurs : "AMI Briques Technologiques EMR "
Année de labelisation : 2014
Année de cofinancement : 2014

Le projet OCEAGEN vise à valider en grandeur réelle le comportement de la technologie de fondation flottante développée par IDEOL, qualifier les choix de matériaux innovants (en particulier le béton) et caractériser en environnement marin l’évolution de plusieurs
composants clés de l’ancrage. Il devrait permettre la réduction des coûts de l’éolien flottant pour rendre la technologie compétitive par rapport à celle de l’éolien posé dès 35 mètres de fond.

Le projet comprend également l’étude de l’industrialisation de la solution. Le projet comprend la fourniture, la construction et l’installation d’un démonstrateur de flotteur, ancrage et câble dynamique de 2  MW sur le site d’essai du SEM-REV au large du Croisic. La construction de la coque est réalisée par BOUYGUES TRAVAUX PUBLICS et l’installation sur le site en mer est prévue en 2017.

Les essais de qualification de ces composants seront réalisés par l’IFSTTAR.

Ce projet incarne la nouvelle génération de l’éolien en mer : l’éolien flottant. Il est le nom de la première éolienne en mer en France de 2 MW qui est installée au large du Croisic sur le site d’expérimentation en mer SEM-REV de l’École Centrale de Nantes. Cette éolienne équipée de la technologie de flotteur développée par BW Ideol produit l’équivalent de la consommation annuelle électrique de 5000 habitants.

Retombées et perspectives :

Le projet permettra de structurer autour des partenaires impliqués, une filière industrielle à fort
contenu technologique, sur une énergie renouvelable compétitive et à faible impact.

  • Les principaux marchés incluent, en Europe, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France, en Asie, le Japon, la Corée et Taiwan, les Etats-Unis ainsi que quelques états insulaires ailleurs dans le monde.
  • Pour la France, le projet contribuera à exploiter au mieux le potentiel énergétique que représente son patrimoine maritime.